Bonnes lectures

Plongez dans le récit percutant d’un chirurgien militaire, témoignant de son engagement lors des missions qu’il a menées à Kaboul en 2002 et 2008. Explorez avec lui l’évolution complexe de la situation militaire, politique et sociale, ainsi que les avancées médicales réalisées sur le terrain. Découvrez ses réflexions sur l’impact de cette guerre, Son analyse approfondie de l’opération Pamir et ses implications futures.

Chirurgien des Hôpitaux, chirurgien orthopédiste-traumatologue civil, Jean-Jacques Gros a pratiqué cette même spécialité avec le grade de Médecin en Chef au cours de neuf OPEX en Afghanistan, en Afrique, dans les Balkans et pendant le conflit libyen comme chirurgien du porte-avions Charles de Gaulle. Membre de l’Institut des Hautes Études de la Défense Nationale, il est également Chevalier de l’Ordre National du Mérite, titulaire de la Croix du Combattant Volontaire, et de neuf autres décorations.

COMMANDEMENT, le témoignage du cœur

Hugues Vial (achat auprès de l’auteur h.vial@free.fr 14,90€)

Pierre de Taillac, Juin 2023, 240 pages

Ce livre est passionnant et devrait être lu par tous ceux aspirant à commander, de la section au bataillon. Il se dévore véritablement, d’abord comme un puissant témoignage des épreuves de la guerre traversées par deux officiers, de 1943 à 1945, au sein du 4e Régiment de Tirailleurs Sénégalais ; ensuite comme de belles pages sur l’estime et la confiance entre un commandant de bataillon, le Cba Robert Gufflet, et un de ses commandants de compagnie, le Cne Robert Vial commentées par le général Delteil.

Si les textes puissants immergent le lecteur dans l’ambiance et la tension des combats de la libération, les réflexions profondes sur le style de commandement, la relation chef et subordonné et le poids partagé des responsabilités demeurent des exemples pour aujourd’hui et serviront utilement tous ceux qui s’intéressent à cette alchimie humaine que seule l’institution militaire peut produire.

Gbr (2S) Jacques Aragones

« Le combat ne m’a pas forgé le cœur et  l’âme, il m’a simplement rendu lucide. J’en sais désormais suffisamment pour ne pas me croire préservé, par ma simple qualité d’homme, du surgissement de l’animal qui gît en moi. »

Dans ce récit à la première personne, le général Lecointre évoque son parcours de jeune officier — de la naissance d’une vocation jusqu’aux terrains de guerre au Rwanda, à Sarajevo ou en Irak —

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Face à l’inadmissible, il est temps pour l’OTAN et l’Union européenne, de repenser leurs systèmes de défense et de sécurité collective qui sont aujourd’hui à la croisée des chemins.

Voilà un document très intéressant mais qui demande du temps et de la réflexion. C’est une bonne synthèse des questions que se pose chacun d’entre nous.

Le livre

Au mois d’octobre 1950, quatre ans avant la défaite de Diên Biên Phu, le désastre que subit le corps expéditionnaire français d’Extrême-Orient de part et d’autre de la route coloniale n°4 (RC 4) constitue le tournant de la guerre d’Indochine…

A commander en ligne sur le site de l’éditeur : https://www.medias-presse.info/cao-bang-1950-premier-desastre-francais-en-indochine-ivan-cadeau/157023/

On croyait tout savoir sur la saga des parachutistes français en Indochine, le magnifique ouvrage de Marie-Danielle Demélas nous prouve le contraire.

C’est un injuste oubli des  études historiques consacrés à  la guerre d’Algérie rie que le dernier ouvrage en date de Marie-Danielle Demélas vient réparer : l’incontournable apport opérationnel des Bérets rouges (parachutistes coloniaux), Bérets verts (Légion  Étrangère) et Bérets bleus (troupes métropolitaines).
Après avoir traité  de l’utilisation tactique des parachutistes au début de la guerre d’Algérie, l’auteure  évoque les trois types d’opération, le commando dans les djebels et le Sahara, l’intervention de Suez, et la guerre urbaine contre-terroriste   Alger.

Avenue du lieutenant Jacques Desplats

81108 Castres Cedex